Jubilé du réseau syllogos

Venez-vous rejoindre le 30 janvier 2024 à Lausanne

form'action

Des formations en immersion pour développer des compétences qui permettent d’agir concrètement sur le terrain.

développement organisationnel salutogène

Une organisation saine se développe, une organisation qui se développe reste saine

d'ac - démarche d'apprentissage collectif

Nous avons développé un projet collaboratif couplé à une étude exploratoire pour que chacun-e puisse faire le bilan sur le plan individuel, organisationnel et sociétal.

bienvenue au réseau syllogos

Nous sommes des partenaires indépendants, actifs dans le domaine du développement organisationnel.

confiance

Nous basons nos actes d’intervention sur une relation de confiance saine afin de permettre une collaboration de durée optimale.

qualité

Nous assurons un niveau de qualité élevé dans nos prestations, grâce à la mise en commun de nos compétences et de nos expériences pratiques.

responsabilité

Nos processus d’accompagnement se co-construisent avec le client, ce qui nous engage dans une co-responsabilité quant à la pérennité des effets de l’intervention.

transparence

Nos interventions se basent sur l’explication de nos rôles et de nos intentions.

Historique

Le réseau syllogos, initié fin 2003, trouve son origine dans les deux convictions majeures de sa fondatrice, Sibylle Heunert Doulfakar.

Les connaissances issues de la psychologie du travail et des organisations, de la psychologie sociale et de la psychologie clinique offrent une analyse pertinente et des modèles d’intervention intéressants pour répondre aux exigences posées par notre société, notamment au sein de nos organisations.

Fédérer des professionnels indépendants autour de cette conviction est une forme organisationnelle qui offre tant l’exigence de la flexibilité que de la qualité dans ce type d’activité qu’est le développement organisationnel.

ÉTYMOLOGIE

réseau
« une organisation adaptative mettant en avant les compétences de chaque partenaires »

syllogos
« la parole / le discours sur l’action collective »